samedi 26 juillet 2008

Conspiration ?





Certains événements imprévus de la vie m’ont amenés à consulter de long en large le site de la société canadienne du cancer. Je vais maintenant vous dévoiler les conclusions de mon investigation.

Nous sommes victimes d’une conspiration visant à nous terroriser face aux succédanées de sucre.

Certains sont si effrayés à l’idée que ce sucre hypocalorique peut donner le cancer qu’ils évitent systématiquement tout produit avec splenda ou aspartame, choisissant ainsi des produits plus caloriques.

Étant une grande consommatrice de succédané de sucre, j’ai été exposé à plusieurs réactions sociales plus intéressantes les unes des autres. À plusieurs reprises, les gens m’ont mis en garde devant ma dépendance à ce produit, surtout en ce qui concerne les boissons gazeuses. « Fait attention, ça donne le cancer.»

J’avoue n’avoir jamais porté attention à la mise en garde qui provient de je ne sais trop où. Me disant que si le succédané de sucre est une cause directe du cancer, il serait un peu imbécile de le laisser sur le marché et d’ainsi exposer les citoyens aux risques de contracter un cancer et par le fait même d’engorger nos merveilleux hôpitaux. (Je me retiens depuis quelques temps d’écrire sur le système de santé.)

Alors j’ai joué avec le risque, j’ai mit ma vie en péril et continuer de consommer mon cola diète fièrement.

Voici donc ce que pense la société canadienne du cancer :


«L’aspartame (également connue sous le nom de Nutrasweet) n’est pas cancérogène. Les cyclamates et la saccharine, à fortes doses, ont causé le cancer chez des rats de laboratoire, mais il n’existe aucun lien confirmé entre ces agents et le cancer chez les humains. Il est quand même préférable de consommer les édulcorants artificiels avec modération. » (Source : http://www.cancer.ca/ccs/internet/standard/0,3182,3649_369473_430297_langId-fr,00.html)

Alors comme toute chose, il suffit d’établir un équilibre. Tant face à l'aspartame qu'au sucre dit régulier. Ceux qui consomment trop de sucre afin d’éviter l’aspartame risquent d'augmenter leurs risques de souffrir de diabète et d’obésité. Deux problèmes de santés pouvant en engendrer de nombreux autres.

Rappelez-vous que l’ÉQUILIBRE est la meilleure solution et surtout, tentez de penser par vous-même.

jeudi 10 juillet 2008

Les Montréalais ont de meilleurs réflexes ?


Voilà déjà près de 1 an et demi que j’habite Montréal et malheureusement, il y a des choses auxquelles je ne m’habitue pas. J’adore Montréal, j’adore sa diversité ethnique, l’anonymat des gens qu’on croise, la possibilité d’avoir des choix, les différences socio-économique entre les individus qui s’entrecroisent, l’indifférence face à la différence et j’en passe. J’adore Montréal, l’ai-je dit ?

Mais bordel, d’où vient ce réflexe typiquement Montréalais de klaxonner sans arrêt. C’est un irritant extrême. C’est probablement la chose qui m’irrite le plus dans cette grande métropole. J’ai habité dans plusieurs régions du Québec depuis mon jeune âge et dans quelques autres depuis que j’ai la possibilité conduire un véhicule moteur et JAMAIS je n’ai rencontré des automobilistes avec des réflexes aussi développés lorsqu’il s’agit de klaxonner.

J’ai pourtant essayé de comprendre, d’observer, d’analyser ce phénomène, ce syndrome maniaque, mais sans succès. Tout est prétexte à klaxonner. C’est à croire que les Montréalais aiment le son des klaxons retentissants.

Cette habitude m’énerve, m’irrite et contribue à ruiner plusieurs minutes de ma journée lorsqu’un automobiliste exalté de son klaxon me klaxonne de façon insouciante. Le week-end dernier, en visite dans ma région natale, je me suis moi-même surprise à appuyer violemment sur mon volant afin d’en faire retentir un petit son insignifiant afin de laisser savoir à l’automobiliste qui venait de me couper quel était mon état d’âme.
Quelle personne désagréable suis-je devenue ?
J’avais honte de moi-même. Mais quel soulagement !

Je comprends un peu mieux ce phénomène depuis que je me suis laissé tenté par le démon du klaxon. Je me suis par contre fait la promesse de ne pas l’utiliser à nouveau, à moins de cas de force majeur. Je veux conserver un peu de ma pureté régionale. Ma quasi-virginité «klaxonnalle». (Ok, j’ai inventé un mot pour les besoins de la cause)

lundi 7 juillet 2008

Petite pub pour un blog que j'adore.



Voilà l'adresse d'un blog que je trouve excellent.


C'est rafraichissant, drôle, vulgaire et unique en son genre.


Albertine Bouquet est une nymphomane notoire, une intellectuelle lubrique et également une écrivaine. Elle est l'auteure du célèbre Manifeste pour une pornographie intellectuelle. Son blogue, Albertine retrouvée, entremêle ses récits, lectures et son feuilleton baladodiffusé, L’Avarie des viandes.Il semble que sa vie sexuelle littéraire ait été portée disparue pendant deux longues années. Elle remet en ligne ce vieux journal, ouvert en 2002, pour vous offrir de la pornographie pour intellectuels comme il ne s'en fait pas. Elle baise des femmes et des hommes, sans distinction.







Bonne lecture !

Mon faux côté écolo...



Voilà que dernièrement, je vais dans un kiosque qui fait la promotion de l’importance du virage vert. Je discute avec la jeune femme du kiosque, intéressée par son dépliant et par les informations qu’elle me donne.

Après quelques instant de discussion et remarquant mon intérêt bien que je ne m’habille pas de chanvre ou de toutes autres matières recyclés voilà que celle-ci me lance : « On sait bien, aujourd’hui, c’est rendu cool d’être écolo, c’est une mode. » Je dois avouer avoir prit ce propos un peu rudement. J’aime faire ma part pour l’environnement. Je m’aperçois qu’être un foyer « vert » prend de plus en plus d’importance pour moi. Peu à peu, je devient une personne plus soucieuse de ma planète et voilà que cette écolo malpropre me lance ces accusations au visage.

Peut-être qu’elle a raison. Peut-être que pour certains, c’est une mode d’être écolo. Mais n’est-ce pas là un bon début ? Cette « mode » est tout de même en train d’implanter des habitudes de vie plus vertes dans le quotidien de plusieurs gens alors pourquoi s’en plaindre ?

Je suis très consciente que je pourrais faire davantage pour améliorer ma position face à l’environnement. Que je devrais, par exemple, cesser d’acheter de l’eau embouteiller, faire du compostage, acheter des ampoules fluo compactes. Je dois avouer que tout cela est dans mes plans futurs, simple paresse écologique.

Toutefois, je fais moi-même mes produits ménagers, j’ai toujours sous la main mes sacs réutilisables et mon bacs de recyclage est toujours plein. Je ne suis quand même pas dans la même catégorie que tous ces voisins fous qui arrosent leurs maudites pelouses. J’évolue, pas à pas. Je suis consciente mais pas encore assez engagée, voilà tout.

Alors, pour vous amis et curieux, quelques petites recettes pour nettoyer sa maison. Peu coûteux et bien meilleur pour l’environnement et la santé des habitants de vos maisons. (Je ne suis pas une fille de quantité donc c’est approximatif)

Produit tout usage :
Dans un pulvérisateur …
Remplir d’eau
Ajouter 2 cuillères à thé de BORAX
Quelques gouttes d’huile essentiel de pin OU le jus d’une lime ou d’un citron.

Poudre à récurer : (Évier, cuvette, bain…)
Dans un contenant…
La moitié de BORAX
L’autre moitié de cristaux de soude. (Se trouve dans la plupart des magasins d’aliments naturels)

Produit pour laver les miroirs, fenêtres :
Dans un pulvérisateur…
3 cuillères à table de vinaigre
Remplir d’eau





Alors, êtes-vous de faux écolos tout comme moi ?